• * Les mots et l'attouchement de l'Apprenti

     Les mots et l'attouchement de l'Apprenti 

    Introduction

    Il est une expression dans le rituel de chacune de nos trois cérémonies (Initiation, Passage au degré de Compagnon, Élévation à la maîtrise) qui mérite de retenir tout particulièrement notre attention et de susciter notre réflexion : « Pour se reconnaître entre eux, les ….. Maçons ont des Mots, des Signes et Attouchements ».

    J’ai déjà tracé une planche à propos des Signes de l’Apprenti. Je ne m’attarderai donc pas ici sur ce sujet.

    Comme pour bien d’autres phrases du rituel sinon toutes, il importe de se poser des questions et de tenter de rechercher des réponses, tout d’abord en nous-mêmes, ensuite en interrogeant des Frères plus avancés dans leurs recherches et enfin en consultant la littérature maçonnique si nécessaire.

    Voici quelques questions qui me sont venues spontanément à l’esprit à la lecture de cette phrase :

    • Pourquoi les Francs-maçons doivent-ils se reconnaître ?
    • Dans quelles circonstances ?
    • Quels sont les mots de reconnaissance mis à leur disposition ?
    • Sont-ils différents selon les grades, selon les rites ?
    • Quel est l’Attouchement de l’Apprenti ?
    • Que signifie le Mot de l’Apprenti?
    • Quelle interprétation pouvons-nous avoir de ces symboles ?

     

    Circonstances d’une reconnaissance

    Dès que le Récipiendaire est reçu et consacré Apprenti Franc-maçon, le Vénérable Maître, assisté de l’Expert, l’instruit pour qu’il puisse dorénavant se faire reconnaître par les signes, mots et attouchements spécifiques de son grade.

    Dans quelles circonstances les Compagnons ou les Maîtres Maçons peuvent-ils être amenés à se reconnaître ? Il me semble que la question est devenue un peu obsolète. En effet, lorsque nous rendons visite à des FF:. d’autres Loges, le plus souvent nous nous retrouvons sur les Parvis, en salle humide, où nous n’avons généralement pas encore revêtu nos décors. Difficile dans ces circonstances de savoir quel est le grade de chaque Frère qui nous accueille et réciproquement !

    C’est dans ce contexte qu’il faut replacer cette fichue manie des Frères Maîtres de saluer tous les Frères en Maître et de divulguer ainsi « le Signe du Maître » à des Apprentis et des Compagnons. Ne conviendrait-il pas, en salle humide, de se présenter à chaque Frère en précisant son grade (Apprenti, Compagnon), venant de la R:. L:. " X " ?

    Ce n’est généralement qu’au sein-même de la Loge de Compagnons au cours de la cérémonie de Passage au grade, ou dans la Chambre du Milieu, au cours de la cérémonie d'Élévation à la Maîtrise, que les mots, les signes et l’attouchement sont contrôlés symboliquement.

    Sans doute, autrefois, lorsque les Compagnons visitaient beaucoup d’autres Loges, était-il opportun d’énoncer le mot de passe à haute et intelligible voix, d’effectuer le signe d’ordre devant le V:. M:. et les FF:. Surv:., de donner l’attouchement au Frère Expert ou au Frère Couvreur !

    Puisque l’attouchement semble intervenir comme l’élément premier de reconnaissance du Maçon, je vais commencer par ce premier aspect des moyens de reconnaissance.

     

    L’Attouchement de l’Apprenti

    Il est probable que l’usage de l’attouchement comme signe de reconnaissance, soit à relier avec la pratique du « topage » dans le compagnonnage. Le voyage est défini comme un ancien usage compagnonnique permettant de savoir si un compagnon rencontré fait partie du même devoir et du même corps de métier. Par questions et réponses, les deux compagnons s’assuraient ainsi de leur identité [1].

    Au premier degré, l’Attouchement est ternaire. Au deuxième degré il est quinaire. Tous deux reproduisent la batterie du grade selon le rythme du rituel pratiqué.

    Bien souvent l’Attouchement est à considérer comme une demande du Mot sacré. La communication du Mot sacré ne peut alors s’exécuter qu’avec une grande prudence. Elle fait référence (notamment au R.E.R. et au R.E.A.A.) à la science des lettres, en particulier au premier et au deuxième grade (J. et B.).

    Au grade d’Apprenti, l’Attouchement se fait en se prenant mutuellement la main droite de manière que les quatre doigts de l’un soient dans la paume de l’autre. Pour se reconnaître, on pose alors l’extrémité du pouce, en le pliant, sur la phalange de l’index de l’autre et l’on exerce des pressions avec le pouce : deux précipitées et une troisième bien séparée. L’Expert fait ce signe de reconnaissance au jeune Apprenti qui doit lui répondre de la même manière.

    Je passerai sous silence l’attouchement des Compagnons et des Maîtres.

     

    Les Mots de l’Apprenti

    Lorsque nous parlons de mots, nous savons qu’il y a lieu de faire une distinction entre « Mot sacré » et « Mot de passe ».

    Parmi les éléments secrets du métier figurent les mots de passe qui ont pour but de vérifier si le degré possédé par un Frère correspond bien à celui des Travaux du jour. Ils permettent d’obtenir l’entrée en loge.

    Bien que rarement exigé à l’entrée de nos Loges pratiquant le Rite moderne, le mot de passe est, faut-il le rappeler, celui qu’il y a lieu d’énoncer au Frère Couvreur pour pouvoir normalement entrer dans le local maçonnique avant l’Ouverture des Travaux. Il agit aussi comme une clé pour accéder à l’espace intemporel lorsqu'un Frère arrive en retard.

    Chaque grade se caractérise aussi par l’attribution d’un Mot sacré aux Frères qui s’y trouvent reçus. Il s’agit, pour les premier et deuxième grades d’éléments partiels, éparpillés. Il leur appartiendra plus tard de rassembler ce qui est épars pour avancer plus avant vers la compréhension initiatique du système.

     

    Le Mot de passe de l’Apprenti

    Comme son nom l’indique, un mot de passe (parfois aussi appelé « mot du guet ») permet de passer, de franchir un seuil. Ce mot serait apparu vers 1745 comme mot de passage ou plutôt d’entrée au premier grade.

    T..... est ce mot de passe (au Rite moderne belge), B........... (au R.E.A.A.) un mot qui donne accès à la Loge. On peut penser que cet usage permet à l’Apprenti de se distinguer d’un Profane. On peut considérer que la Franc-maçonnerie, héritière des mystères antiques, utilise les mots de passe, en rappel des usages propres aux mystères d’Eleusis.

     

    Quelques hypothèses sur l’origine de ce mot

    De toutes les thèses avancées sur l’utilisation de T......... comme mot de passe du premier grade – notamment au Rite français – aucune explication ne paraît a priori justifier ce choix.

    Arturo Reghini [2] considère qu’un mot de passe est nécessaire pour passer d’un grade à un autre, du premier au deuxième grade par exemple, mais que c’est une erreur d’avoir attribué T.............. au premier grade [3].

    Selon Marcel Spaeth, T.....-C..... était le « premier maître pour la fonte de l’airain » et certaines versions maçonniques admettent même qu’il pouvait être le second d’Hiram et c’est lui qui aurait fondu les colonnes J et B du Temple de Salomon.

    Yabal évoque le verbe « ybl » (conduire) ; Ybal ressemble à « yôbel » (trompette) ; Tubal est aussi le nom d’un peuple du Nord (Genèse 10 ; 2) au pays des métaux.

    C......, qui signifie « forgeron », paraît avoir été joint à T..... comme une explication de ce nom et sans doute pour souligner que ce forgeron-là est bien le descendant de Caïn, un des fils du premier homme.

    D’ailleurs « T......... » devrait, suivant la prononciation en hébreu s’énoncer plutôt comme Joubal ou Zoubal, son qui n’a pas d’équivalent en français, mais qui s’apparente au Th anglais.

    La référence à T.....-C..... propose au jeune Maître un travail essentiel. Ne dit-on pas en effet que T.....-C...... sépara l’airain des scories ?

    Il semble difficile de trouver une formule plus noble et plus juste définissant le devoir essentiel d’un Franc-maçon que celle-ci : « avec l’aide du feu, débarrasser la matière des scories », dans les relations des hommes entre eux mais avant tout dans les relations avec soi-même.

    En Maçonnerie, cette référence à l’art du forgeron est en étroite analogie avec la Chaîne d’union dont les maillons doivent être du plus pur métal.

    Les catéchismes de 1724 à 1730 ne rapportent aucun mot de passe. Reghini avance une hypothèse selon laquelle leur introduction correspondrait à des mesures prises vers 1735 en France pour se protéger des Frères dissidents. Mais cela mériterait d’être vérifié !

    En tout cas, on trouve la première trace de T......... donné comme mot de passe du premier grade en 1745, dans le rituel de l’Ordre des Francs-maçons trahi et le secret des Mopses [4] révélé.

    Jackson [5], dans un article paru dans les Ars Quatuor Coronatorum en 1974, traite des mots de passe, de leur développement et utilisation au début du 18ème siècle. Il reconnaît dans ses conclusions que leurs origines restent du domaine de la spéculation.

    Jackson considère que les mots de passe ont été utilisés surtout en France, s’apparentant à des mots de guet pour s’assurer de l’appartenance à la Franc-maçonnerie d’un Frère inconnu de passage dans une loge. Depuis 1728, date probable de la première Grande Loge Française, le nombre de loges s’accrut rapidement. Si les Maçons français ont utilisé des mots de passe, il est improbable, toujours selon Jackson, que ce soit pour des raisons de sécurité qui étaient à cette époque souvent assez élémentaires.

    Il y aurait une forte probabilité pour que les mots de passe aient une origine irlandaise ou anglaise et non pas française car ces mots seraient apparus dans les rituels dès 1725 durant les changements causés par le développement du système en trois grades. Leur apparition officielle, imprimée en 1760 à Londres, n’exclut donc pas la possibilité d’une existence antérieure.

     

    Symbolisme du Mot de passe « T............. »

    Irène Mainguy développe quelques essais d’interprétation du mot « T.......... » en fonction de l’hermétisme d’une part, et l’alchimie d’autre part.

    Caïn, fils d’Adam et Ève, est aussi le nom de la matière en putréfaction parvenue au noir. Elle est reliée à la malédiction divine qu’encourut Caïn après le meurtre de son frère Abel, et aussi par la suite au désordre sur la terre que causèrent ses descendants, ce qui amena le déluge. En alchimie, le déluge est représenté par la dissolution de la matière et ses effets par la putréfaction.

    Ces opérations alchimiques nous rappellent l’épreuve subie par le Néophyte dans le Cabinet de Réflexion avant d’être présenté ni nu, ni vêtu à la Porte de la Loge, c’est-à-dire boitant, les yeux bandés. L’état de ni nu ni vêtu du postulant à l’Initiation rappelle l’état du boiteux sous lequel est le plus souvent présenté le forgeron. Cette préparation, qui n’a rien d’une brimade, est faite pour faire prendre conscience de l’état d’infirmité spirituelle, d’opposition interne et d’incomplétude dans lequel se trouve toute personne en quête de Lumière, venant frapper à la Porte de la Loge.

    Le candidat à l’Initiation, présenté dans l’état d’infirmité du forgeron, dépouillé de ses métaux les plus vils, part à la recherche des métaux les plus nobles, prenant pour maître Tubalcaïn, modèle de la conciliation des oppositions nécessaires et fécondes, lui traçant la voie à suivre.

    En hébreu, T.....-C...... signifie « possession du monde ». Le Maître en effet, possède le monde entier, représenté par la Loge, puisqu'il lui est permis de voyager de l’Orient à l’Occident, du Midi au Nord et sur toute la surface de la Terre.

    Issu de la « chair », de la matière corruptible, des ténèbres couvrant cette terre maudite (qui va disparaître prochainement avec le déluge et l’avènement d’une nouvelle humanité post-noachite), T........... devient celui qui va rechercher tous les moyens de s’approprier la puissance, puisqu'il doit se passer de la divinité, pour maîtriser la connaissance de l’univers de la matière sans se soucier des conséquences ni des aspects positifs ou négatifs que l’on nomme le Bien et le Mal.

     

    Je passerai sous silence les mots de passe des Compagnons et des Maîtres.

     

    Le Mot sacré de l’Apprenti

    L’Apprenti apprend qu’il existe un mot sacré qui ne peut jamais être prononcé mais seulement épelé. Il en découvre la première lettre sur la Colonne du Septentrion : c’est la Lettre J, qui débute le mot « J........ » qui se traduit généralement par « Qu’il établisse ! », c’est-à-dire « Que le Grand Architecte de l’Univers établisse ! ». Le Mot sacré de l’Apprenti se rapporte en effet au nom donné dans la Bible à l’une des deux colonnes qui étaient situées à l’entrée principale du Temple de Salomon.

    Le Vénérable Maître lui enseigne comment réagir lorsque ce mot sacré lui sera demandé. Il devra répondre qu’il ne sait ni lire ni écrire mais seulement épeler. Il demandera que son interlocuteur lui fournisse la première lettre et il lui répondra en lui donnant la suivante et ainsi de suite.

    On constate ainsi que l’Apprenti n’énonce que les voyelles A et I, tandis que le Maître qui l’interroge énonce les consonnes J, K et N.

    Ce qui est significatif, c’est l’enseignement qui consiste en la manière d’épeler lettre par lettre le nom de cette colonne. Si le Mot sacré ne se prononce pas, c’est qu’il fait allusion à ce qui est inexprimable et ne se prête à aucun exposé systématique ou doctrinal. Ainsi, l’Apprenti est mis sur le chemin, pour faire l’effort de penser et de le trouver en lui, selon la théorie platonicienne de la réminiscence où tout est en soi. On le retrouve dès qu’on se met à l’écoute.

    Les termes d’épeler, lire et écrire font appel à la science des lettres et à l’art de mémoire.  Cette parole est communiquée par bribes, lettre après lettre qui, ajoutées les unes aux autres et assemblées, à l’aide d’un guide, donnent la méthode initiale pour assembler ce qui est épars. C’est la première phase de l’apprentissage. La Genèse est liée à la manifestation du verbe créateur. Apprendre à lire et à écrire, sur un plan initiatique, consiste à retrouver la trace du Principe dans les phases éparses de la manifestation.

    Le mot sacré de l’Apprenti se rapporte au nom donné dans la Bible à l’une des deux colonnes qui étaient situées à l’entrée principale du Temple de Salomon. Ce qui est significatif, c’est l’enseignement qui consiste en la manière d’épeler lettre par lettre le nom de la première Colonne.

    L’instructeur met le Néophyte sur la voie en prononçant la lettre initiale, ce qui permet à l’Apprenti de donner la seconde lettre. La troisième lettre lui sera encore donnée pour qu’il puisse trouver la quatrième.

    Selon René Guénon, « le Maçon qui n’est pas parvenu au grade de Maître est encore incapable de rassembler ce qui est épars et c’est pourquoi il ne sait qu’épeler ».

    La manière de communiquer « le mot sacré » : « Donnez-moi la première lettre et je vous donnerai la seconde » nous enseigne que l’Initiation est faite de plusieurs étapes, l’une qui vient de l’apport de la Tradition, l’autre qui résulte du travail personnel de l’Apprenti. Le mot sacré qui se compose en assemblant les lettres l’une après l’autre représente le processus initiatique dans sa globalité. Celui-ci demande de faire l’effort d’en rassembler les éléments épars selon la méthode du puzzle.

    Le mot sacré épelé fait partie des symboles sonores.

    Quel que soit le rite, on constate que l’Apprenti ne sait qu’épeler et qu’en avouant « Je ne sais ni lire, ni écrire, je ne sais qu’épeler », il se laisse guider pour être mis sur la Voie par son instructeur. Épeler, c’est commencer à lire, balbutier, ce sont les premiers jalons intelligibles de l’acquisition du langage.

    Au grade d’Apprenti, le mot sacré peut avoir plusieurs sens : « il établira » ou « il érigera », du verbe hébreu « koun », il était debout. J......... s'épelle en hébreu par quatre lettres : iod, caph, iod, nun.

    Si Jakin signifie « il établira », le mot établir vient du latin stabilire (installer solidement, fixer, construire). On parle d’établir des lois, l’ordre, des pierres pour un édifice. Stabilis veut dire ferme, solide, durable et stabilitas est donné comme synonyme de fortia, les choses fortes, les actes de bravoure, d’où la force.

    Si le mot sacré J....... signifie « stabilité », « résistance », « fermeté », ce sont là les qualités essentielles de l’Apprenti-Maçon qui doit avoir une volonté efficiente pour entreprendre et persévérer dans sa quête.

     

    Je passerai sous silence le mot sacré des Compagnons et des Maîtres.

     

    Pour conclure, du moins provisoirement

    Lorsqu'il est dit qu’un Maçon se reconnaît à ses signes, paroles et attouchements, cela signifie qu’il sait mettre en pratique à l’extérieur de la Loge ce qu’il y a intégré physiquement par ses signes et attouchements et intellectuellement par certaines paroles précises.

    Ainsi, pour se reconnaître entre eux, tous les Francs-maçons disposent de mots, de signes et d’attouchements spécifiques à leur grade, à leur rite. Le tuilage de l’Apprenti en atteste :

    • A quoi reconnaîtrais-je que vous êtes Maçon ?
    • A mes mots, signes et attouchements.

    Mais cette question et sa réponse sont précédées d’une autre phrase qui me paraît tout aussi importante sinon davantage, une autre phrase que j’ai entendue pour la première fois le soir-même de mon Initiation :

    A la question de savoir « Etes-vous Maçon ? » il fut répondu :

    • Mes Frères me reconnaissent comme tel !

     

    R :. F :. A. B.

     

    [1] Encyclopédie du Compagnonnage, Histoire, symboles et légendes, Editions du Rocher, 2000, p. 596.

    [2] Reghini Arturo, Les Mots sacrés et de passe des trois premiers grades et le plus grand mystère maçonnique

    Editions Archè, Milan,  1985.

    [3] Si la signification de ce mot de passe au premier degré de la Maçonnerie ne semble pas avoir trop d’importance, c’est probablement parce que le sens de Tubalcaïn serait à découvrir au troisième degré.

    [4] L’Ordre des Mopses est né en Saxe, après que le Pape Clément XII ait fulminé l’excommunication de la Franc-maçonnerie en 1738.

    Si cette excommunication n’eut pas d’effet en France, le Parlement de Paris ayant refusé d’enregistrer la Bulle papale, des catholiques de certaines principautés allemandes choisirent de créer cet Ordre mixte et paramaçonnique tirant son nom du mot allemand Mops qui signifie « carlin ». Ce petit chien symbole de fidélité était aussi l’animal favori du Prince-Electeur de Saxe, Frédéric-Auguste.

    [5] Jackson, « Masocnic paswords their development and use in the early 18th century »

    in Ars Quatuor Coronatorum, Vol. 87, 1974.

    Bibliographie générale

    Guigue Christian - La formation maçonnique

    Editions Guigue, Mons-en-Baroeul, 2003 - Pages 70 à 72 ; 500 à 501 ; 694 à 695

     

    Mainguy Irène - La Symbolique maçonnique du troisième millénaire

    Editions Dervy, Paris, 2001 - Pages 66 ; 83 ; 86 ; 168 ; 195 à 201 ; 322 ; 324 à 326

    Bibliographie spécifique aux mots et à l’attouchement de l’Apprenti

    Béresniak Daniel - Rites et symboles de la Franc-maçonnerie

    Tome 1 « Les Loges bleues » - Editions Detrad, Paris, 1995 - Page 83

     

    Guigue Christian - Les planches de l’Apprenti

    Editions Guigue, Mons-en-Baroeul, 1996 - Pages 169  à 175

     

    Mainguy Irène - La Symbolique maçonnique du troisième millénaire

    Editions Dervy,  Paris, 2001 - Pages 71 à 74 ; 75 à 77 ; 165 à 168

     


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