• * De Midi à Minuit, l'heure des Travaux

     De Midi à Minuit, l'heure des Travaux 

    Introduction

    C’est avec surprise et curiosité que les nouveaux Initiés entendent la demande du Vénérable Maître d’ouvrir les Travaux « puisqu'il est Midi » puis de les fermer lorsqu'il est Minuit, alors qu’en réalité les Travaux débutent généralement vers 19 h 45 et durent à peine deux heures !

    Pourquoi nous annoncer qu’ils commencent à Midi et s’étendent sur douze pleines heures, en totale contradiction avec nos montres ?

    Ce décalage avec la réalité des horloges est tel qu’il ne peut, à l’évidence, être fortuit. Le rituel nous envoie un message qu’il nous faut décoder.

    Commençons cette planche par un examen de notre rituel d’Ouverture et de Fermeture des Travaux au Rite moderne.

    Examen de nos rituels d’Ouverture et de Fermeture des Travaux

    A L’OUVERTURE DES TRAVAUX

    V:. M:.

    F :. 1er Surveillant, à quelle heure les Apprentis – Maçons ont-ils coutume d'ouvrir leurs Travaux ?

    1er Surv:.

    A Midi !

    V:. M:.

    F:. 2nd Surveillant, quelle heure est-il ?

    2nd Surv:.

    Il est Midi !

    Les seules explications qu’un bienveillant Frère Surveillant avait pu me donner, il y a longtemps, en séminaire d’Apprentis étaient les suivantes : « tout ce qui vient de se faire s’est fait avant « Midi ». Car c’est à « Midi » que commence symboliquement la Tenue. Le soleil est à son zénith et à l’heure de midi, il répand sa pleine lumière. Les Travaux se déroulent symboliquement de Midi à Minuit ».

    Mais je n’avais pas eu droit à d’autres explications.

    A LA CLÔTURE DES TRAVAUX

    V:. M:.

    F:. 1er Surveillant, à quelle heure les Apprentis – Maçons ont-ils coutume de clore leurs Travaux ?

     

    1er Surv:.

    A Minuit, V:. M:.

    V:. M:.

    F:. 2nd Surveillant, quelle heure est-il ?

    2nd Surv:.

    Il est Minuit.

     

    Ici aussi les explications furent très succinctes : « Les Travaux se sont déroulés symboliquement de Midi à Minuit ».

    Notre Frère Surveillant nous avait simplement expliqué qu’en Loge, le temps n’existe plus et que c’est à « Minuit », heure symbolique à laquelle se termine la Tenue, c’est-à-dire généralement entre 22 et 23 h profanes !

    A « Minuit » symbolique, les conditions ne sont plus remplies pour pouvoir poursuivre les Travaux. Nous nous apprêtons donc à regagner le monde profane, pour y poursuivre l’œuvre commencée dans l’espace sacré. La Lumière que chacun emporte dans son cœur devrait continuer à illuminer la voie.

    Cette planche, intitulée « De Midi à Minuit, l’heure des Travaux », est une modeste réflexion sur ce temps propre aux Travaux maçonniques qui se déroulent symboliquement entre Midi et Minuit. Je vais donc tenter de vous faire découvrir quelque peu le symbolisme qui s’offre à nous.

     

    L’heure des Travaux

    Confirmons tout d’abord ce constat : lors des Travaux en Loge, il est en effet de coutume pour le Vénérable Maître de s’informer de l’heure au début et à la fin de toute Tenue ou cérémonie. Et les Frères Surveillants de répondre invariablement qu’il est Midi ou qu’il est Minuit, l’heure d’Ouvrir ou de Clore les Travaux.

    Les  Travaux, quant  à eux, sont toujours délimités dans un espace compris entre l’Orient et l’Occident, le Septentrion et le Midi, le Zénith et le Nadir.

    Ainsi, à chaque Tenue, le rituel nous rappelle que le Travail maçonnique commence, d’une manière symbolique, à Midi pour se terminer à Minuit.

    Cet échange verbal entre le Vénérable Maître et les Frères Surveillants, ne devrait-il pas nous faire prendre conscience que la Lumière ne peut s’observer que par rapport aux Ténèbres ?

     

    De Midi à Minuit

    « De Midi à Minuit », cela veut dire que les Travaux commencent à Midi en pleine lumière quand le soleil est à son zénith, là où aucune ombre ne subsiste. Cette pleine lumière est nécessaire pour éclairer notre esprit. Et les Travaux  s’achèvent à Minuit plein, quand la Lune et la nuit prennent possession de la voûte céleste et que l’obscurité la plus profonde descend jusqu'au Nadir. C’est l’annonce du repos et la fin du travail du jour.

    Bien entendu la Fermeture des Travaux ne veut pas dire que tout finit «  ici et maintenant » car, comme nous pouvons l’entendre dans le rituel de Fermeture des Travaux de certaines Loges travaillant au Rite Écossais Rectifié, le Vénérable Maître ajoute un peu après :

    « Que la lumière qui a éclairé nos Travaux continue de briller en nous pour que nous achevions au dehors l’œuvre commencée dans le temple, mais qu’elle ne reste pas exposée aux regards des profanes » !

    Il s’agit alors pour nous tous d’amener la Lumière dans le monde profane !

    Chaque Tenue n’est-elle pas un voyage et un petit pas vers nous-mêmes ?

    Un proverbe chinois ne dit-il pas qu’un long voyage commence toujours par un premier pas ?

    Nous avons tous effectué ce premier pas lors de notre Initiation au grade d’Apprenti. Mais ce n’est souvent que bien plus tard que nous comprenons les raisons de la rédaction de notre testament philosophique qui met un terme à notre vie profane. Ce dépouillement et l’abandon des métaux servent de relais à notre nouvelle vie d’initié, et nous fait prendre conscience de ce que nous sommes venus chercher en Maçonnerie, c’est la Lumière !

    Le premier travail symbolique qui nous a été demandé juste après notre Initiation fut de donner trois coups de Maillet avec le Ciseau sur la Pierre brute. A ce moment-là notre travail de recherche sur nous-mêmes venait de commencer. Et ce travail, qui s’effectue symboliquement entre Midi et Minuit n’a de sens que pour les Initiés.

    C’est ce moment entre Midi et Minuit où nous sommes en dehors du monde profane, que commence la construction de notre temple intérieur, fait de compréhension et de tolérance, et  qui ne peut se faire que dans le silence, en prêtant beaucoup d’attention. A ces moments-là, point de place à la dispersion car cet enseignement reçu doit rejaillir plus tard sur nos attitudes, dans nos propos et dans nos manières d’être dans le monde profane.

    Cette vie initiatique, qui est la nôtre, est l’accomplissement d’un permanent et difficile voyage qui, avec l’expérience doit nous amener à une élévation morale qui nous conduira  à terminer cette vie en homme meilleur.

    Cette recherche personnelle intérieure doit nous permettre de donner un sens à notre vie et de modifier notre manière d’être.

    Ce travail fait en commun symboliquement entre Midi et Minuit permet à chaque Maçon de recevoir symboliquement son salaire et d’être content et satisfait.

    Mais vient le moment de nous séparer, non sans avoir auparavant partagé tous ensemble ce merveilleux moment trop rapide de communion, de sincérité et de respect : la Chaîne d’union dans laquelle nous pouvons sentir toute la force et l’énergie de la Loge nous envahir. Chaîne d’union qui nous unit par les mains, le cœur, et l’esprit.

    Ne serait-ce pas merveilleux si la fraternité qui nous unit à ce moment-là pouvait régner sur l’humanité toute entière, et pas uniquement entre Midi et Minuit ?

     

    Tentative d’interprétation

    Dans la phase initiale du rituel du 1er degré, lors d’une série de « triangulations » avec les deux Surveillants, le Vénérable Maître annonce que, puisqu'il est l’heure et que nous avons l’âge, il est temps d’ouvrir les Travaux !

    L’heure d’Ouverture des Travaux correspond – comme on le dit au Rite Écossais Rectifié – à « Midi plein », c’est-à-dire au moment de la journée où la lumière est à son maximum et le Soleil au Zénith.

    De même, la Clôture des Travaux doit être effectuée à « Minuit plein », quand l’obscurité est à son maximum et le Soleil au Nadir. Ainsi, les Travaux de Loge, du fait de leur caractère rituel, se déroulent symboliquement en conformité harmonique avec les cycles naturels et notamment avec le parcours journalier du soleil.

    Mais la précision de cette interprétation requiert un examen plus détaillé.

    Avant tout, il faut se demander pour quelle raison les Travaux maçonniques doivent – nécessairement, pourrait-on dire – être ouverts et fermés respectivement à Midi et à Minuit.

    La « clef » d’interprétation la plus adéquate me semble contenue dans certaines considérations de René Guénon qui, traitant de la correspondance analogique existant entre les différentes « échelles » des cycles cosmiques, remarquait que « dans la journée, la moitié ascendante est de minuit à midi, la moitié descendante de midi à minuit » [1].

    Ainsi, les phases du jour, comme celles du mois, mais à une échelle encore plus réduite, reproduisent analogiquement celles de l’année ; il en est de même, plus généralement, pour un cycle quelconque, qui, quelle que soit son étendue, se divise toujours naturellement suivant la même loi quaternaire.

    Suivant le symbolisme chrétien, la naissance de l’Avatâra [2] a lieu non seulement au solstice d’hiver, mais aussi à minuit ; elle est donc ainsi doublement en correspondance avec la « porte des dieux » dont il est question dans nos rituels de la Saint-Jean.

    À partir de ces correspondances entre cycle annuel et cycle journalier, ne pourrions-nous pas considérer que midi et minuit jouent dans le cycle journalier un rôle analogue à celui des deux solstices dans le cycle annuel ?

    Le monde du jour et de la nuit

    Alors que le temps profane du travail s’étend ordinairement du lever au coucher du soleil, le temps imparti aux Travaux du Maçon est délimité par le passage du soleil aux deux demi-méridiens.

    En astronomie, ces bornes midi – minuit correspondent au passage du soleil à son zénith, c'est-à-dire au maximum de sa lumière puis, douze heures plus tard, au nadir, dans l'obscurité d’un noir minuit.

    Le Travail du Maçon est ainsi placé sous la lumière du soleil descendant qui, à peine après avoir montré le maximum de sa lumière, va diminuer d’intensité pour faire place aux Ténèbres, qu’un pâle reflet lunaire pourrait adoucir.

    Soleil, Ténèbres et Lune : voilà trois pistes que le rituel nous invite à explorer.

    Le soleil est, dans toutes les civilisations, l’image vitale par excellence. C’est le père cosmique, le principe actif qui fait naître, fortifie et épanouit. Se consumant pour tous les êtres vivants sans exception, sa lumière généreuse est disponible pour tous. Elle est donnée sans contre partie : c’est l’image de l’amour toujours présent, éternel, qu’on peut qualifier de divin car, sans lui, rien n’existe ni ne peut exister.

    Cet amour, renouvelé à chaque lever, il nous demande de le propager comme il le fait, sans en imposer les formes, sachant cependant que les premières d’entre elles s’appellent fraternité, entraide et solidarité.

    Ce soleil symbolique, entrant dans les recoins de l’âme, dissout le doute, et, comme le feu auquel il renvoie, purifie pour régénérer. Son rayonnement est une force vitale qui pousse vers l’avant, vers une vie nouvelle, débarrassée du passé et des pulsions morbides.

    Il est Midi, la lumière au Zénith est à son maximum d’intensité ; ses vertus bienfaisantes à leur paroxysme. Il n’est pas de meilleure heure pour débuter nos Travaux, l’âme purifiée, le cœur baigné de l’amour que ses rayons insufflent, conduisant au désir de construire une vie nouvelle dans la promesse d’une moisson abondante.

    Cependant comme excès de soleil brûle et assèche, il faut que sa chaleur s’atténue pour qu'elle soit bienfaisante. C’est précisément à Midi que le soleil commence à décliner, brillant sans brûler.

    Puis, le soleil s’enfonce inexorablement sous l’horizon ; sa lumière s’éteint, cédant place à l'obscurité qui efface la lumière de l’amour que l’on souhaiterait pourtant éternellement présente.

    Ces Ténèbres qui s’installent ne viennent pas pour nous effrayer mais pour nous rappeler que « le monde visible est fait de lumière et de ténèbres, mêlés avec le plus bel art » (Goethe,  Traité de Physique).

    Lumière et Ténèbres, bien et mal, ange et démon, mêlés en s’opposant, en lutte perpétuelle car si l’un l’emporte, il n’y aurait ni mouvement, ni changement, ni évolution pour l’homme devenu alors enchaîné car privé de sa liberté.

    Cette obscurité en contraste avec le plein jour, c’est l’expression de la tension existentielle, conséquence de notre liberté de choix entre des contraires présents en nous.

    Ces Ténèbres nous questionnent sur le sens de notre existence, suggérant qu’existence et liberté sont des termes complémentaires. La condition humaine est dans la possibilité, le choix de soi-même ; l’homme en existant se découvre responsable de soi, non pas étant mais ayant à être.

    Mais, voici qu’apparaît la Lune, renvoyant la lumière solaire que l’on croyait disparue.

    La Lune, qui reçoit et réfléchit la lumière solaire, symbolise le principe passif en contraste avec le soleil, principe actif par essence.

    Dans la plupart des mythologies et traditions encore actuelles, elle est associée à l’idée de fertilité, lui prêtant une influence, faste si l’on sait s’en faire une alliée, sur la végétation, les maladies, les animaux…

    La Lune est la matrice dans laquelle le germe se développe. Elle symbolise le processus secret de la gestation dans le mystère de l’âme. C’est la lumière de l’intérieur qui indique que toute connaissance profonde passe par une communion spirituelle. La Lune absorbe la pensée discursive, logique et la mêle à l’imagination, l’intuition, la sensibilité, la nuance, le rêve, la poésie. Elle est l’inconscient profond, le trésor des origines ou du passé. Elle correspond à l'eau, sous son aspect purificateur qu’on retrouve au baptême ou à l’Initiation ; l’eau, solvant universel qui dissout ce que le feu a laissé. La Lune, mère nourricière, est la matrice, le creuset d’une possible renaissance.

    Le message symbolique

    Soleil et Lune, Lumière et Ténèbres vont de pair sans s’opposer ; leurs qualités propres s’ajoutent et se complètent. De cette fusion des principes actif et passif, naît l’« androgyne », harmonieuse conciliation des parts masculine et féminine.

    Ne pourrions-nous pas aussi voir dans ces douze heures de travail, bornées par Midi et Minuit, l’image d’une année de vie (douze mois), faite d’une lutte herculéenne (douze travaux) entre Lumière et Ténèbres ? Continuant cette symbolique des nombres, ne pourrions-nous encore y voir une incitation à contribuer au parachèvement de l’œuvre du Grand Architecte de l’Univers en agissant sur la Matière (4) par l’Esprit divin (3) présent en nous ?

    Toute cette symbolique de la nuit, du jour, du nombre, ne nous rappelle-t-elle pas que le Temps maçonnique, c’est le temps créateur, dédié à la construction de soi. Elle peut aussi nous rappeler que ce temps est limité, que Kronos dévore ses enfants et que la mort est son terme.

    Temps commun et Temps maçonnique

    Le Temps des Travaux maçonniques s’oppose au temps économique et social profane, tout en s’écoulant dans le temps des horloges, reflet du mouvement diurne et annuel du ciel. C’est ce temps commun que réfèrent la physique, la métaphysique, l’art, la littérature, l’ésotérisme, etc.…

    Comment le Temps maçonnique s’insère-t-il dans ce temps commun ? La décomposition naturelle du temps entre passé, présent et avenir donne un rôle central au présent, instant ponctuel entre passé qui n’est plus et futur immédiat qui n’est pas encore. Entre un passé figé, immobile, sur lequel nous ne pouvons rien, et un futur incréé, non advenu, se tient le présent. Mais celui-ci est un point de durée insaisissable car au moment où nous voulons l’appréhender il est devenu passé.

    Comment alors assigner une durée à cet insaisissable ? Le temps a-t-il une durée ou n’est-ce qu’une pure représentation commode de l’esprit, « une structure de réceptivité grâce à laquelle les sens peuvent être affectés par les objets ? » (Kant)

    Le temps ne serait-il pas hors de nous mais en nous, produit dans et par l’intériorité de la conscience ?

    Goethe formule une lumineuse réponse : « seul l’homme peut accorder une durée à l'instant ». C’est en nous-mêmes que nous donnons du temps au temps et faisons ainsi de l’éphémère du durable. Ce durable, nous pouvons également le penser, sans nous contredire, jusqu’à sa limite, représentée par un présent suspendu, immobile, comme gelé en un moment perpétuellement figé, absolu, sans succession, que l’on appelle éternité.

    Platon ne voyait d’ailleurs dans le temps que l’image mobile de l’éternité. Cette aspiration à la durée fait, de ce renouvellement irréversible d’un instant évanescent qu’est le présent, un état de la conscience qui forme continuité avec le passé et le futur immédiat.

    C’est cette réalité du présent qui ouvre le champ de l’action. Présent et action, indissociables complémentaires, liés par Bergson dans cette définition : «mon présent, c’est mon attitude vis-à-vis de l’avenir immédiat, c’est mon action imminente».

    Cette liaison présent – action implique un futur proche, la pensée allant de l’avenir vers le présent, comme à rebours du temps ! Le lieu véritable du temps serait le futur et non le présent.

    Ce présent – action s’interprète comme une projection continuelle de notre pensée vers le futur, tout acte étant un façonnement de l’avenir où l’homme sent qu’il s’y prolonge.

    Ces visions des temps maçonnique et commun me paraissent compatibles. Dans ces deux conceptions, le temps est une construction, propre à lui donner un sens, une justification. Cependant, à la construction d’un temps vital, utilitaire de l’urgence profane, la symbolique maçonnique nous invite à bâtir celui du devenir. Elle nous enseigne que l’avenir n’est pas ce qui vient vers moi, amené par la flèche irréversible du temps, mais ce vers quoi je vais.

    Il est bientôt Minuit… Permettez-moi de conclure, du moins provisoirement !

    En guise de conclusion provisoire

    De Midi à Minuit, de l’Orient à l’Occident, du Septentrion au Midi et du Zénith au Nadir, ces heures et cet espace conventionnels ne traduisent-ils pas une relativisation du temps et de l’espace ? Le temps et l’espace de travail du Franc-maçon semblent alors figés.

    Ces délimitations spatio-temporelles ne commandent-elles pas à tout Franc-maçon de maîtriser et d’utiliser rationnellement son temps et l’espace dans lequel il évolue ?

    Ne rappellent-elles pas également le caractère universel de la Franc-maçonnerie ?

    R:. F:. A. B.

    [1] Minuit correspond à l’hiver et au nord, midi à l’été et au sud ; le matin correspond au printemps et à l’est (côté du lever du soleil), le soir à l’automne et à l’ouest (côté du coucher du soleil).

    [2] L'avatâra est la descente du Divin «au-dessous de la ligne qui sépare le monde divin du monde humain ou de la condition humaine».

     


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